christophe2904

je m' appelle Christophe je suis marié , 2 enfants. Ma passion c' est d’écrire, de partager l' amour de notre Seigneur.

21.1.07

Suis je vraiment aveugles ?


Cette histoire ou a l' époque je ne connaîssais pas encore le seigneur. A cette époque j' était encore un enfant qui chercher l' amour, l' affections. J' ai entendus parlé du seigneur, mais j' était buté par la recherche de l' amour, de me sentir aimée! A telle point que j' était aveugle face a l' amour de Dieu.

Mon coeur comme une pomme
Dieu le tenait entre ces mains,
Le temps passe, moi je ne change pas
Je reste toujours un enfant.
Mes frére et soeurs nous somme les reflets de l' argent
Nous sommes couvert de larme.

Nous cherchons dans un coin chaud L' amour de nos parents. (bis)

Mais hélas, je me suis senti seul seul comme un voilier au milieu de la mer.


Ce temps qui passe fripant les canapés, seul!
Cette solitude qui me glace Je n' entend plus cette cloche.
Mes cris pour t' appeler hésitent
Ils passent comme un écho
Cet amour qui s' affaiblit, s' éteint.
Je me réveille dés l' aube, toujours, toujours hélas , toujours seul.
Et comme toujours, l' affection qui s' éloigne,
Je savais que je n' était point heureux.

Suis je vraiment aveugle?
Aveugle pour ne pas voir cette amour,
L' amour de Dieu !
Suis je vraiment aveugles ?

16.1.07

mon coeur est devenu une pierre


Je suis un enfant blessé,
La solitude m’attaque,
Je me sens renfermé.
Les traces d’amour disparaissent
Derrière cette porte en fer.
J’entends des voix, des rires,
Je sentais la mort arriver
Dans ce monde vaste parmi ces ombres.
Les docteurs qui me reprochaient ma timidité
Avec mes yeux d’enfant.
Je voyais par milliers mes ennemis
C’était de la folie que de tenter de fuir
Ces ennemis qui sont puissants.
Je me laisse tomber dans ce vide

Mon âme vole dans le vent, comme une feuille.
J’ai faim, soif de te connaître,
Je suis là, au fond du puits
Collé au mur sombre et sale.
Je me cache pour fuir la solitude
Dans mon coeur l’esprit de Dieu
La justice, le bonheur et la paix.
Ce matin, comme le soir, qui se ressemblent
Cette solitude me fait un manteau
Ce manteau fait pousser la haine.
J’ai peur, peur de voler,
de voler trop prés du soleil
de voler assez haut pour que mes ailes,
Se décollent à cause de la chaleur.
J’ai peur, peur de foncer, même si vous,
Vous donnez des milliers de conseils
À force de temps, mon coeur est devenu une pierre,
Cette pierre qui roule, roule vers mon tombeau.

LA DERNIER LETTRE DU MISSIONNAIRE


LA DERNIER LETTRE DU MISSIONNAIRE



Mon amour, si tu savais,
Le mal que l'on me fait.
Je pense à toi dans mes rêves.
Je ne peux oublier ton visage.
Ces barreaux me donne la rage,
Et provoque en moi des orages.
Les cris de mes frères me rappellent
Que je suis enfermé.
Moi, qui suis un missionnaire impuissant.
Mon amour, je souffre sous la torture
Que je ne cède pas, grâce à toi et notre Dieu.

Mes frères et mes sœur, si vous saviez,
Le mal que l'on me fait.
Vous, vous êtes libre de prier ensemble,
Quant à nous, nous prions dans l'ombre
Nous louons dans les décombres.
Toujours aux aguets
Je me rappelle, lorsque l'on se retrouvait
Tout les dimanches, nous étions ensemble en famille.
Ici nous somme persécutés.
Etre un missionnaire ce n'est pas facile.

Pasteur, si tu savais,
Le mal que l'on me fait.
Tous ces chrétiens qui souffrent.
Ils sont prisonniers comme moi
Dans ces murs meurtris pas ces blessures.
Mes pas ne sont plus surs.
Je ne me laisse pas envahir par le doute.
Je pense à ce que vous m’avez appris,
J'ai connu Dieu grâce à vous.
Il ne me reste plus que trois heure à vivre,
Bientôt pour l'éternité je serais au paradis.
Vous qui m'avez révélé la parole de notre Père
Continuez à donner à mes frères l'envie de servir.
Etre un missionnaire ce n'est pas facile
Je connaissais les risques,
Mais l'amour de Dieu est fort.
Je mourrais libre et heureux dans la joie
La joie de servir Dieu,
Et bientôt, la porte du paradis s'ouvrira
Et mon Dieu me sourira.

Toi, qui est dans l'ignorance.
Toi, qui ne connais pas ma souffrance.
Toi, qui ne connais pas Dieu.
Toi, qui te moques de mon choix.
Si tu savais le mal que l'on me fait,
Tu ne comprendrais pas.
Tu me prendrais pour un fou.
Mais, je veux te dire
Que Jésus est mort et ressuscité pour moi
Je sais qu’il est heureux et qu’il m’attend
Rien n’est trop beau pour l’éternité auprès de lui
Et ce que j’endure, il en prend note
Il me réserve une place pour l'Eternité, auprès de lui.
Alors, j’accepte cette souffrance.
Je mourrais, pour être libre en christ
Que Dieu te glorifie avec mes frères et mes soeurs.
Qu’il te bénisse, dans la joie et dans l’amour.
Amen