Oh mére! ma petite mére.

Oh mére! ma petite mére,
Je regarde mes soeurs et mes fréres,
Dans ce champs avec ces prés,
Ce champs de mais doré.

Oh mére! ma petite mére,
Je voudrais être poëte,
Mes pensée sort des chants,
Mais les paroles reste muette.

Oh mére! ma petite mére,
Des larmes d' appel de mes plaintes,
Elle te dise adieu, elle te dise que tu m' as aimée,
Elle me dise ma jeunesse est loin a jamais,

Comme ce coeur qui ne battra plus de la même façon,
J' aimerais, je voudrais te dire, souvent je t' aime,
Mais je suis seul comme un vagabond.

Oh mére! ma petite mére,
Je suis un homme et dans ma tête,
je fait plus jeune que mon age,
Je veux faire explosé mes poême,
Mais aujourd' hui, je ne désire plus grand chose,
Je suis seul en rêvant,J' imagine d' offris ces milles roses,
Vers l' aube sonore au printemps.....

Oh mére! ma petite mére,
Ce n' est qu' un rêve léger,
Comme mon coeur qui ne fleuris plus,
Ce coeur qui meure sur terre.